On le pressent tous plus ou moins : plus le cadre de travail est positif, plus les rapports humains sont harmonieux, plus les salariés sont contents de leur travail… plus la productivité est durablement importante. D’ailleurs, Blanche Neige ne nous le chantait-elle pas depuis notre plus jeune âge avec « sifflez en travaillant et le balais paraît léger » (cf. ci-dessous) ?

Mais de plus en plus d’études l’attestent scientifiquement : le bonheur au travail et la productivité vont de pair. C’est ce que prouve cette étude anglaise selon laquelle les personnes heureuses sont 12 % plus productives. Nous ne pouvons que nous réjouir que des scientifiques confortent ce en quoi nous croyons de longue date chez culture&sens et qui a même motivé la création de notre société. C’est la raison pour laquelle depuis plus de 7 ans maintenant, notre première intervention chez un client a eu lieu le 22 mars 2007 chez Accenture, une partie de notre offre porte sur l’humain et sur le recours à la culture pour accroître le bien-être au travail.

Comment rendre les salariés heureux au travail ? Si on en croit la pyramide de Maslow, représentée ci-dessus lors la très réussie exposition The Happy Show qui s’est tenue jusqu’à début mars à la Gaîté Lyrique, les besoins physiologiques et une certaine sécurité sont les deux besoins de base à satisfaire. En échange de son travail, le salarié escompte en effet obtenir au minimum de quoi se sustenter, se loger, se soigner… Ce n’est toutefois pas suffisant. Le bonheur est également corrélé à l’appartenance, à l’estime de soi et à la réalisation de soi.

L’offre de culture&sens répond à ces différents besoins notamment en :

  • développant le lien entre les salariés et entre les salariés et l’entreprise,
  • valorisant les salariés auxquels l’entreprise offre des moments d’ouverture culturelle,
  • permettant, grâce aux détours que nous proposons tels que le management par l’art, de prendre du recul pour progresser en tant que manager et donc dans la réalisation de soi,
  • positionnant la culture comme vecteur de sens au sein de l’entreprise,

Attention, toutefois, à ne pas aller trop loin. Quand on lit dans l’article ci-dessus que certaines entreprises en arrivent à s’assurer que l’attente au restaurant d’entreprise soit assez courte pour que les salariés ne puissent pas avoir le sentiment de perdre du temps mais aussi assez longue pour qu’ils aient l’occasion d’échanger entre eux dans la queue, on peut en effet se demander si on n’atteint pas là certaines limites. A force de contrôle et de mesure, ne risque-t-on pas d’atteindre l’effet inverse ?

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